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Blog de Michel Ganivet
5 septembre 2022

Avis d’une lectrice ou comment traverser la canicule en bonne compagnie

Une mélodie qui n'en finit jamais p

 

J'ai sans doute tort de ne pas publier les avis des lectrices et lecteurs qui me sont parvenus à la suite de la parution de mon dernier roman « Une mélodie qui n'en finit jamais ». Aussi, avec l'aimable autorisation de Dominique Godfard, dernière lectrice en date m'ayant adressé un message, voici son commentaire sur le livre. Je publie sa « critique » sur ce blogue avec reproduction de quelques pages de mon bouquin prises au hasard.

Merci à cette lectrice

Pour info : Une mélodie qui n’en finit jamais » est diffusé via la plateforme d’auto-édition Librinova
https://www.librinova.com/compte/livre/8324

et peut être commandé chez tous les libraires de France et de Navarre en version papier et numérique.

« Je viens de traverser la canicule en la très bonne compagnie d’ « aristos », pour les plus anciens (les jeunes générations ayant balancé aux oubliettes des manières surannées), d’une trame narrative bourrée de rebondissements qui tiennent le lecteur en haleine, et de votre plume si fluide et agréable à lire... Sans oublier la musique, véritable « personnage » du livre par sa présence tout au long du roman et qui vous cueille dès la couverture, avec les mains d’Héléna et de Valentina, comme avec le titre, fort à propos.
Si, à première vue, l’épaisseur de l’ouvrage et le nombre des personnages sont susceptibles d’effrayer quelque peu le lecteur contemporain (habitué à des volumes étiques), le mystérieux tableau « Le voyageur aux portes de la nuit » intrigue dès le début; son histoire incite à tourner les pages avec curiosité et ainsi de suite... Je me suis senti attendre les fêtes de fin d’année comme si j’allais y assister !
Cette belle réussite tient, à mon avis, à une structure romanesque qui évite toute monotonie car l’on passe d’un personnage à un autre, d’un rebondissement à un autre ; à une grande finesse analytique des us et coutumes comme des sentiments qui animent les protagonistes et, pour ces derniers, à votre aptitude à camper les personnages... Eugénie, très « reine-mère », est magnifiquement portraiturée, et l’histoire de sa vie, du conditionnement dont elle fut l’objet, permet de mieux la comprendre en dépit de son sale caractère. J’aime aussi que le parcours de ceux que l’on appelait les « bâtards », soit mis en avant pour ce qu’il est : la recherche désespérée de leurs origines.
Enfin, bravo, bravissimo, pour la quatrième de couverture qui n’était pas facile à rédiger et qui illustre parfaitement votre beau roman. »

Dominique GODFARD

Une mélodie qui n'en finit jamais p

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