Dimanche 26 juin, rencontre avec les Drouin d'Amérique
Autour de la stèle : Pierre Drouin, Michel Ganivet, Denis Drouin et Guy Fréchet.
Notre périple québécois s'est poursuivi, dimanche 26 juin, par une rencontre avec l’association des Drouin d’Amérique, représentée, en l’absence de Ginette Drouin, présidente, tout excusée, par Denis et Pierre Drouin ainsi que Guy Fréchet (dont la mère est née Drouin).
Les Drouin du Canada, notamment du Québec, et des États-Unis, sont descendants pour la plupart de Robert Drouin (Le Pin-la-Garenne 1607 - Château-Richer, 1685). Celui-ci, marié à Anne Cloutier, puis à Marie Chapelier, eut une terre au Cap-de-la Madeleine, puis à Beauport et à Château-Richer à la fin de sa vie.
À Château-Richer Robert et Marie Chapelier, sa seconde épouse, s’établissent vers 1650, sur cette dernière concession reçue près de la rivière aux Chiens. Des recherches récentes laissent penser que sa ferme se trouvait à l’emplacement du gîte « Le Clos des Brumes » dominant le fleuve Saint-Laurent et non à l’emplacement de la petite maison où figure une plaque rappelant, de longue date, la concession aujourd’hui traversée par le Chemin du Roi.
Après découverte de Beauport, nos amis Drouin ont organisé une visite sur les lieux attachés à la vie de Robert Drouin, avec pause photo devant la stèle commémorative ponctuée par une découverte de l’église de Château-Richer où il est inhumé.
J'ai adressé une invitation à nos amis Drouin du Nouveau Monde à revenir visiter, comme en 2007, la paroisse et l'église de leur ancêtre percheron.
Accueil devant la maison Girardin à Beauport
Le Clos des Brumes, gîte touristique "Couette et café", emplacement probable de la ferme de Robert Drouin.
L'église de Château-Richer se dresse au-dessus du fleuve Saint-Laurent.
Intérieur de l'église de Château-Richer
Sympathique rencontre avec Dominique Gagnon, gardien de l'église de Château-Richer.
Stèle établie sur la concession de Robert Drouin par ses descendants de l'association des Drouin d'Amérique.
La petite maison établie en bas de la concession et sa plaque (ci-dessous).
Annie et Michel Ganivet ont adressé une invitation à l'association des Drouin d'Amérique à revenir au Pin-la-Garenne,
paroisse de l'ancêtre Robert.
Pour tout savoir sur Robert Drouin :
Les gens de métier ont eu une place de choix au tout début de la colonie. Robert Drouin pratiquait un métier qui aurait pu lui permettre de gagner largement sa vie. Briqueteur, il aurait pu s'attendre à décrocher facilement des contrats en Nouvelle-France mais tel ne fut pas le cas.
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